Précarité et soins palliatifs / Echo réseau n°86, avril 2024
« Si je meurs en début de mois je devrais pouvoir me payer une sépulture digne, mais si je meurs en fin de mois j’aurai droit au terrain commun ». Ces mots, c’est une des premières phrases que m’a dite Olivier lors de notre première rencontre. Il avait vu un reportage sur le terrain commun qui avait fait naître chez lui l’angoisse de mourir seul.